Charles Quint
Fonction et porteur probable
Cette armure n’était pas destinée au champ de bataille, mais :
Le porteur serait donc :
Détails des armes et accessoires
Élément | Détail |
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Type d’armure | Armure de parade Renaissance |
Origine | Augsbourg ou Nuremberg (Allemagne), 1540–1580 |
Style | Maximilien tardif / Renaissance haute |
Atelier probable | Helmschmid ou Peffenhauser |
Usage | Parade, cérémonies, représentations officielles |
Porteur | Empereur, prince-électeur, grand duc, noblesse impériale |
Symbolique | Autorité, prestige, continuité avec les arts civils luxueux |
Sources comparables | Kunsthistorisches Museum, Wallace Collection, MET, Stuttgarter Musterbuch |
Élément analysé | Description | Interprétation / Signification |
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Matière du manteau | Fourrure d’hermine, bordée de motifs tachetés | Symbole de royauté, pureté, prestige |
Couleurs principales | Or, rouge, noir, blanc | Couleurs du pouvoir royal et religieux (richesse, autorité, sacré) |
Col | Col plissé blanc | Mode des rois et nobles européens à la Renaissance (XVe – XVIe siècle) |
Chaînes et pendentif | Chaînes dorées, pendentif en forme de croix ou insigne religieux | Signe d’appartenance à un ordre chevaleresque ou religieux royal |
Objet tenu | Encensoir ou calice richement décoré | Symbole de pouvoir sacré, lien entre le roi et le religieux |
Style général de l’habit | Renaissance européenne (inspirée des cours catholiques) | Influence des monarchies catholiques d’Europe de l’Ouest |
Origine géographique | France, Espagne, Saint-Empire romain germanique, Portugal | Cours royales catholiques occidentales |
Type de personne | Roi, empereur, ou prince souverain chrétien (rarement haut dignitaire religieux) | Seules les figures d’autorité suprême portaient ce type d’apparat |
Période historique | Renaissance (XVe – XVIe siècle) | Période de consolidation des monarchies absolues en Europe |
Symbole global | Pouvoir sacré et politique, droit divin de régner | Le roi est vu comme représentant de Dieu sur Terre |
François 1er d’Autriche enfant
Élément observé | Description détaillée | Interprétation historique / culturelle |
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Ordre porté sur la poitrine | Étoile rouge à huit pointes avec médaille verte au centre | Semblable à l’Ordre militaire de Marie-Thérèse (Autriche-Hongrie), décoration honorifique militaire royale |
Couleurs rouge et or typiques des ordres nobiliaires européens | Indique des services militaires remarquables | |
Veste blanche à brandebourgs dorés | Veste asymétrique, blanche, à col rouge et boutons dorés | Uniforme d’officier de haut rang dans les monarchies européennes du XVIIIe siècle (style austro-prussien) |
Intérieur du col bleu brodé de feuilles dorées | Ornement réservé aux généraux, maréchaux ou nobles militaires | |
Foulard/cravate bleue brodée d’or | Tissu richement orné, sans armoiries complètes | Marque d’élite ou de noblesse, pouvant refléter une maison noble européenne spécifique |
Ceinture rouge brodée d’or | Ceinture à motif doré | Signe d’appartenance militaire supérieure, commandement, pouvoir |
Couleurs rouge et or | Fréquentes dans les armées royales pour désigner l’autorité | |
Identité potentielle | Noble ou officier européen prestigieux (fin XVIIIe – début XIXe siècle) | C’est un membre de la famille royale des Habsbourg ( l’Empire austro-hongrois) |
Uniformes, couleurs et décorations rappellent l’armée autrichienne ou prussienne | Exemples possibles : Maréchal Charles d’Autriche, noble italien sous domination autrichienne, chevalier européen |
Countess Maria Magdalena von Waldeck-Wildungen (1606-1671), married in X 1623 Simon VII count of Lippe-Detmold 1587-1627.
Un Turc (Ottoman) dans les années 1700s
James Francis Edward Stuart (1688 – 1766)
Prétendant jacobite aux trônes d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande
Titres et prétentions
La main dissimulée dans sa veste indique qu’il fait partie de la Franc maçonnerie.
A gauche le véritable portrait de Napoléon Bonaparte qui a été pris dans le début des années 1800s. A droite la version contrefaite.
La religieuse de Moret, dite « La Mauresse », estampe reproduisant un portrait conservé à la bibliothèque Sainte-Geneviève. (AD77, 2FI12972)
Louise Marie Thérèse est une religieuse du couvent de Villechasson-Moret. Elle est connue sous le surnom de » mauresse de Moret » en raison de la couleur de sa peau. Elle est la fille de Marie-Thérèse d’Autriche, reine de France et de Louis XIV, roi de France. Elle serait née entre 1664 et 1775.
Sophie-Charlotte de Mecklembourg-Strelitz, née à Mirow le et morte à Kew le , est reine du Royaume-Uni de 1761 à 1818, en tant qu’épouse de George III (1738-1820).
Elle est la grand-mère de la reine Victoria et l’aïeule de l’actuel roi du Royaume-Uni, Charles III, par sa mère, mais aussi par son père, Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg[1].
Elle est une protectrice des arts, connue de Johann Christian Bach et de Mozart, entre autres. Elle est aussi une botaniste amatrice qui œuvre à la fondation de Kew Gardens. Le genre Strelitzia est d’ailleurs nommé en sa mémoire. George III et la reine Charlotte ont quinze enfants, dont treize atteignent l’âge adulte.
L’Empereur George III de l’Empire Britannique (à la tête de l’Empire Ottoman). Le vrai rôle de George III a été dissimulé dans l’histoire à travers plusieurs identités, notamment celle de Mansa Moussa, Memet II, l’Empereur du Maroc Mohammed III et enfin le prophète Mohammed.
Sur la pièce du haut, nous distinguons le véritable portrait de Ferdinand III, empereur du Saint-Empire romain germanique de 1637 à 1657. On y observe clairement que Ferdinand III est un mélanoderme. En dessous, une autre pièce, frappée ultérieurement dans le but de falsifier son image, présente une représentation altérée. Néanmoins, malgré cette tentative de modification, on remarque que le Ferdinand III contrefait conserve des cheveux longs et adopte une pose de face, similaire à celle du portrait authentique.
Claude (ou Claudia) de Médicis (née le à Florence et morte le à Innsbruck) est l’épouse du duc d’Urbino Frédéric della Rovere puis de l’archiduc d’Autriche antérieure Léopold V d’Autriche-Tyrol. De 1632 à 1646 elle est régente du Tyrol et de l’Autriche antérieure.
A gauche le vrai portrait Hippolyte Ier d’Este et à droite la version contrefaite de sa personne. A gauche nous avons une fresque réalisée par Bernardino Luini, achevée au cours du premier quart du XVIe siècle. Actuellement conservée au musée du Louvre, elle a été peinte pour un oratoire situé à Greco, un quartier de Milan, en Italie.
Symboles : le roi noir, dans la scène de l’Adoration ci-dessus, porte une mozetta
A gauche vous avez le véritable portrait de Henry Lord Darnley et à droite la version contrefaite. Les falsificateurs se sont quand même assurés que la version falsifiée ressemble à la véritable comme nous pouvons l’observer.
Henry Stuart, dit Lord Darnley, né le 7 décembre 1546 et mort le 9 ou le 10 février 1567, duc d’Albany et roi consort d’Écosse, est le deuxième époux de sa cousine Marie Ire, reine d’Écosse.
A gauche le vrai portrait de Princess Elizabeth de Bohème, fille du Roi Jacques IV et I d’Angleterre
A gauche le vrai portrait de la duchesse Sophie de Schleswig-Holstein-Sonderburg par Lucas Kilian, 1613 (domaine public / art ancien), collection privée. A droite la version falsifiée de son portrait.
A gauche le vrai portrait de Kenneth II, à droite sa version contrefaite. Kenneth II ou Cináed mac Maíl Choluim est le fils de Malcolm Ier (mort en 954), le roi Dubh (mort en 966) est son frère aîné. Kenneth semble avoir épousé une femme issue de la lignée des Uí Dúnlainge roi du Leinster du nord. Il devient roi après la mort de Cuilén dans un combat contre les Bretons du royaume de Strathclyde et il règne 24 ans et deux mois.
A gauche le véritable portrait de Beethoven et à droite la version falsifiée de sa personne.
Ludwig van Beethoven , né à Bonn le 15 ou le 16 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827 à 56 ans.
A gauche le vrai portrait de Sir Christopher Wren et à droite sa version contrefaite.
Sir Christopher Wren (né le 20 octobre 1632 à East Knoyle, mort le 25 février 1723 à Hampton Court) est un savant et architecte britannique du xviie siècle, célèbre pour son rôle dans la reconstruction de Londres après le Grand incendie de 1666. Wren est connu en particulier pour la conception de la cathédrale Saint-Paul de Londres, considérée comme étant son chef-d’œuvre, une des rares cathédrales construites en Angleterre après la période médiévale, ainsi que la seule cathédrale classique et baroque dans le pays.
A gauche vous avez le véritable portrait du marquis de Lafayette et à droite vous avez son portrait falsifié.
Bien sûr, voici une version améliorée et plus fluide de votre texte fictif :Observez comment la contrefaçon imite fidèlement l’original. Les teintes des vêtements sont identiques, la posture est semblable, avec le bras droit posé sur une statue de marbre dans l’œuvre originale, et sur un rocher dans le portrait falsifié. La coiffure reprend exactement la même coupe, et enfin, tous deux tiennent dans leur main gauche un chapeau orné de plumes.
George Ier (né Georg Ludwig ; Hanovre, 28 mai 1660 – 11 juin 1727 [N 1], Osnabrück) est duc de Brunswick-Lunebourg (également appelé duché de Hanovre, d’après le nom de sa capitale), prince-électeur du Saint-Empire romain germanique à partir de 1708 et roi de Grande-Bretagne du 1er août 1714 jusqu’à sa mort.
A gauche le véritable prince Rupert du Palatinat, à droite sa version contrefaite.
« Garçon en cape et turban (Portrait du prince Rupert du Palatinat), vers 1631 »
Ce tableau est souvent attribué à des peintres du cercle d’Anthony van Dyck ou à Gerrit van Honthorst.
Il représente le prince Rupert du Palatinat, fils de l’électeur Frédéric V du Palatinat et d’Élisabeth Stuart, future figure militaire royaliste pendant la guerre civile anglaise. L’œuvre, peinte vers 1631, montre le prince jeune, vêtu à l’orientale (cape et turban), ce qui reflète une mode artistique et politique de l’époque visant à souligner le statut princier exotique ou chevaleresque.
A gauche le vrai portrait de Don Carlos d’Espagne, l’aîné du roi Philip II d’Espagne. A droite sa version contrefaite. Don Carlos, prince des Asturies (8 juillet 1545 – 24 juillet 1568), fut le fils aîné et héritier présomptif du roi Philippe II d’Espagne. Sa mère était Marie-Manuelle de Portugal, fille de Jean III de Portugal. Carlos était connu pour son instabilité mentale et fut emprisonné par son père au début de l’année 1568 ; il mourut après environ six mois d’isolement. Son emprisonnement et sa mort furent exploités dans le cadre de la Légende noire espagnole. Sa vie a inspiré la pièce Don Carlos de Friedrich Schiller et l’opéra Don Carlos de Giuseppe Verdi
A gauche nous avons le véritable portrait de Guillaume d’Orange (1533 – 1584). A droite, nous avons la version falsifiée.
Guillaume le Taciturne » plus couramment connu aux Pays-Bas sous le nom de Guillaume d’Orange, fut le chef de la révolte néerlandaise contre les Habsbourg d’Espagne, révolte qui déclencha la guerre de Quatre-Vingts Ans (1568-1648) et mena à l’indépendance officielle des Provinces-Unies en 1648.
Né dans la maison de Nassau, il devient prince d’Orange en 1544 et fonde ainsi la branche Orange-Nassau, ancêtre de la monarchie des Pays-Bas. Aux Pays-Bas, il est également connu sous le titre de « Père de la Patrie » (Latin : Pater Patriae ; Néerlandais : Vader des Vaderlands).
A gauche le vrai portrait de Anna van Saksen et a droite son portrait falsifié.
Anne de Saxe (23 décembre 1544 – 18 décembre 1577) était la fille de Maurice, électeur de Saxe, et d’Agnès de Hesse. Sa richesse attira de nombreux prétendants ; elle finit par accepter la demande en mariage de Guillaume le Taciturne, veuf à l’époque, et ils se marièrent le 25 août 1561.
En 1567, ils durent fuir les Pays-Bas face à l’armée des Habsbourg envoyée pour réprimer la révolte néerlandaise.
En 1570, Anne entama une liaison avec son avocat, Jan Rubens, qui donna lieu à la naissance d’un enfant. Elle fut placée en résidence surveillée, et Guillaume fit annuler leur mariage.
Anne mourut cinq jours avant son 33e anniversaire, souffrant de troubles mentaux et physiques.
A gauche nous voyons Saint Maurice discutant avec Saint Erasme. A droite, on aperçoit Saint Georges s’appuyant sur sa lance (1506). Bibliothèque royale de Belgique. Cela veut il dire que Saint Maurice est = à Saint George ?
A gauche le véritable François II roi de France, et à droite la version falsifiée.
François II, né à Fontainebleau le 19 janvier 1544 et mort à Orléans le 5 décembre 1560, est roi de France du 10 juillet 1559 jusqu’à sa mort.
Fils aîné d’Henri II et de Catherine de Médicis, il monte sur le trône de France à l’âge de quinze ans après la mort accidentelle de son père le 10 juillet 1559. Son règne éphémère ne dure qu’un an et cinq mois mais constitue un prélude majeur au déclenchement des guerres de Religion.
CHARLES IX ROY de France et de Pologne
Fils de HENRY II, Roy de France et de Catherine de Médicis, Reine, fut sacré Roy à Reims en 1561, et couronné à Saint-Denis. Il régna durant le trouble des guerres civiles et religieuses en France contre les huguenots.
… Il fit la paix de Saint-Germain en 1570 et épousa Elisabeth d’Autriche, fille de Maximilien II empereur.
… fut cause de la sanglante Saint-Barthélemy arrivée en 1572, où grand nombre de protestants furent tués à Paris et en d’autres villes.
… mourut à Vincennes en 1574, âgé de 24 ans, après avoir régné 14 ans.
Sur le portrait de gauche on aperçoit le véritable duc d’Orléans qui sera connu plus tard sous le nom de Philippe Egalité, que les falsificateurs ont essayer de faire passer pour un nègre quelconque au nom de Narcisse au service du Duc d’Orléans. Ce portrait a été peint par Louis Caroggis Carmontelle. A droite nous avons la version falsifiée du Duc d’Orléans.
À gauche, se trouve le véritable portrait de Dorothée de Danemark ; à droite, sa version falsifiée. Dorothée de Danemark né le 10 novembre 1520 à Copenhague (union de Kalmar) et morte le 31 mai 1580 à Neumarkt in der Oberpfalz (Palatinat du Rhin), est une princesse de l’union de Kalmar devenue par son mariage électrice consort palatine.